Si vous avez fait preuve d’un minimum de soin envers votre scooter, un bon lavage, un peu de dégrippant/lubrifiant sur les commandes et quelques vérifications mécaniques basiques suffiront pour qu’il retrouve l’éclat du neuf… et retienne l’attention des acheteurs.
Soigner les apparences
● Un lavage soigné : même si son état mécanique est irréprochable, un scooter sale fera fuir vos acheteurs potentiels.
● Un petit coup de polish : la plupart des scooters ont des carrosseries en plastique dont il est relativement facile de raviver la peinture et d’en effacer les petites rayures avec des produits adaptés comme le Restom®PAP 5000
(12 € le flacon de 500 ml).
● Changer les accessoires endommagés : des leviers de frein cassés ou tordus, un élément de carrosserie brisé ou simplement fendu peuvent laisser penser que le scooter a été accidenté… même s’il n’est tombé qu’à l’arrêt. Mieux vaut changer ces accessoires plutôt que d’avoir à fournir de vaines explications. Mais si votre scooter a réellement été accidenté, vous n’oublierez pas de le signaler à votre acheteur.
Réviser la mécanique
● Si le scooter n’a pas tourné depuis longtemps, ne pas oublier de recharger la batterie et de remettre les pneus à la bonne pression.
● Faire la vidange et changer le filtre à huile : si votre moteur est équipé d’un moteur 4 temps, et même si la date de la prochaine vidange est encore lointaine, pouvoir prouver à votre acheteur (factures à l’appui) qu’il n’aura pas à effectuer cette opération sitôt rentré chez lui est un indéniable « plus » pour la revente.
Ne pas lésiner pas sur la sécurité
● Vérifier le freinage : ne pas laisser un acheteur repartir avec des plaquettes de frein usées à plus de 50 %.
● Vérifier les pneumatiques : ne pas hésiter à changer les pneus s’ils sont usés à plus de 50 %.
● Vérifiez toutes les commandes électriques : feux de croisement et feux de route, appel de phare, clignotants, feu stop… Toutes ces fonctions ainsi que les commandes qui les actionnent doivent être en parfait état de marche.