Suite à la Covid-19, le marché immobilier connaît quelques transformations. Une des remarques des professionnels immobiliers, c’est que les logements dans les grandes agglomérations ne sont pas vraiment en demande.
Immobilier : la ville moyenne comme premier choix © MoreToTheShell de Pixabay
Achat immobilier : école, crèche et mobilité comme critères
La crise sanitaire a mis la lumière sur les avantages d’habiter des maisons ou des appartements dans des villes moyennes ! Du moins c’est ce qui pourrait ressortir des dernières analyses du marché immobilier en France depuis la crise sanitaire. Écoles, emploi, crèches et mobilité sont quelques-uns des avantages que présente l’achat de logements dans ces lieux modestes.
Covid-19 : les agglomérations boudées
Le début de la Covid-19 et le premier confinement ont poussé les ménages français à vouloir plus d’espaces et des habitations loin des larges agglomérations. Une mutation qui arrange les choses pour acheter un bien immobilier dans les quartiers à la limite de la ville et les villes moyennes, entre autres.
Pour attirer les acheteurs immobiliers, les propriétaires de maisons et d’appartements mettent désormais l’accent sur l’espace que le logement offre, l’environnement moins stressant ou encore le prix immobilier attractif. Les communes participent aussi à attirer les futurs habitants et proposent même de faciliter la tâche aux parents en les mettant en contact avec les écoles, les crèches, etc. Parmi celles qui sortent du lot, on note Avignon ou encore Bourges.
Un faible pour les maisons individuelles
Ce désir de déménager, de changer de quartier et d’investir dans un bien immobilier est aussi accompagné par une préférence pour la maison plutôt que l’appartement Cela vient rejoindre une nouvelle fois le besoin d’espace ressenti par les foyers depuis la pandémie et les périodes de confinement ! Par contre, au niveau de la location, ce sont les grandes régions et les petits biens, types T1 ou T2, qui sont préférés.
Léa Genty le 11/06/2021
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