La ville la plus méridionale de France affiche 2 500 heures de soleil par an. Les Pyrénées en toile de fond, la mer à proximité : un bien beau décor resté à portée de bourse, car Perpignan n’a pas encore réussi à se soustraire à l’influence de Toulouse et de Montpellier, considérées plus attractives.
Situation générale
Plein de cachet, le centre historique s’est refait une beauté : du coup, maisons de ville et coquets appartements y affichent les prix les plus élevés de la ville. Mais les bonnes affaires sont encore possibles, notamment en raison de l’absence de parking et de la difficulté à stationner.
Dans certain quartier, les amateurs d’anciens peuvent louer à des prix raisonnables des appartements avec de belles hauteurs sous plafonds et des sols revêtus de tomettes et de parquets.
Les quartiers les plus recherchés
Proches du centre-ville, le quartier du Cours Palmarole offre des vues agréables, des terrasses au soleil et des places de parking : des prestations très convoitées situées dans des immeubles bâtis dans les années 1960 et qui s’arrachent jusqu’à 2 300 €/m².
Près du Palais des Congrès et du Palais des Rois de Majorque, les maisons individuelles avec jardin et garage séduisent les familles avec enfants.
Au sud-est, résidentiel et plutôt bourgeois, s’étend le couteux quartier de Perpignan-Plage et ses villas avec piscine !
Les quartiers neufs
Dans l’agréable quartier de la gare, où arrivera d’ici quelques années le TGV, les terrasses ensoleillées fleurissent avec les programmes neufs.
Les villes alentours
Quant aux villages voisins (Cabestany, Saint-Estève, Le Soler, et jusqu’à L’Ille-sur-Têt), ils séduisent les amoureux de calme et de verdure : au pied des Corbières, les maisons s’acquièrent à partir de 150 000 €.
Avis aux amateurs de restauration : les belles granges, recherchées depuis quelques années, deviennent rares.