Dossier : Nouveautés auto

Nouveautés coupés et cabriolets 2011 : les dernières "autos plaisir"

 

De 85 à 728 ch ou, si vous préférez, de 16.200 à plus de 700.000 euros ! On trouve vraiment de tout dans les deux familles les plus délurées de la production automobile mondiale. Panorama des nouveautés d'un petit monde où le raisonnable côtoie l'insensé... ou presque !

 
 
 
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Abarth 500C « esseesse »
Snobissimement décoiffante !

 

Une Abarth 500 sur trois est équipé du fameux kit « essesse » qui permet de faire passer de 135 à 160 ch la puissance de son 1,4 l 16v T-Jet. Un tel succès à encouragé la marque au Scorpion à proposer ce kit de transformation sur la déclinaison cabriolet de l’Abarth 500 qui gagne ainsi 20 ch puisqu’elle a droit de série à 5 ch de plus que l’Abarth 500 « normale » (140 au lieu de 135 ch).
Les performances de l’Abarth 500C « esseesse » sont dignes d'une véritable sportive avec une vitesse maximale de 209 km/h et un 0 à 100 km/h couvert en 7,6 secondes seulement. Les émissions de CO2 restent néanmoins contenues : 151 g/km.

 

Le kit essesse Abarth Koni qui, outre les pièces nécessaires au dopage du moteur, intègre aussi des disques de freins perforés (ventilés à l’avant), des plaquettes de freins haute performance, des amortisseurs avant et arrière Koni, des ressorts rouges plus courts, des jantes en alliage chaussées de pneus Michelin 205/40 ZR17, un système de contrôle de pression des pneus, sans ooublier quelques badges essesse, vous sera facturé 3.700 euros pose incluse.

 

 
 
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Alfa Romeo 4C Concept
Star de salon hier, reine de la route demain

 

Même desservie par sa couleur rouge mate, l’Alfa Romeo 4C Concept présentée au dernier Salon de l’Automobile de Genève avait une sacré gueule. Et pour le plus grand bonheur des fans de la marque italienne, l’Alfa Romeo 4C Concept n’en restera pas au stade d’un bel exercice de style. Ce coupé sportif et compact (4 m environ) sera en effet commercialisé dans le courant de l’année 2012.

 

La belle Alfa se distingue par des choix techniques pour le moins radicaux (châssis en aluminium, cellule d’habitacle en carbone...) qui lui permettent d’afficher moins de 850 kg sur la balance. De quoi lui procurer un redoutable rapport poids/puissance inférieur à 4 kg/ch grâce à son 4 cylindre 1750 turbo de plus de 200 ch placé en position centrale arrière. Ce bloc performant est associé à une boîte de vitesses à double embrayage.
Avec ses roues arrière motrices et une répartition des masses favorisant à la fois l’agilité et la motricité (40% sur l'avant et 60% sur l'arrière), c’est un intense plaisir de conduite qui attend à coup sûr les futurs et heureux propriétaires du petit bolide italien.

 

 
 
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Aston Martin V8 Vantage S
10 chevaux de plus et une boîte à 7 rapports

 

Si l’on en croit le Dr Ulrich Bez, big boss d’Aston Martin, la Vantage S « pousse l’expérience de conduite au-delà de ce que proposait la marque jusqu’à présent ». Pour répondre à cette alléchante promesse, l’Aston Martin Vantage S ne se contente pas d’offrir 10 ch de plus que la Vantage « de base » (436 au lieu de 426 ch). Elle accouple son V8 4,7 l à une boîte robotisée à 7 rapports qui pèse 24 kg de moins que la boîte robotisée à six rapports proposée (en plus d’une boîte manuelle) sur la Vantage.

 

Grâce à l’accroissement de la puissance du moteur, la vitesse maximale dépasse désormais les 300 km/h (305 au lieu de 288 km/h). Direction optimisée et freinage renforcé (étriers 6 pistons, disques majorés) vont de pair avec la hausse des performances.
Pour rester utilisable au quotidien, la Vantage S bénéficie également d’un ESP recalibré offrant trois modes, un mode « normal » pour une utilisation routière sécurisée, un mode piste autorisant de jolies dérives placées sous la surveillance de l’électronique et un mode totalement déconnecté... pour les plus habiles.

 

 
 
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BMW Série 6 Cabriolet
Entre cabriolet et limousine

 

Si la nouvelle Série 6 Cabriolet abandonne le style torturé (un peu) et controversé (très) de la précédente version lancée en 2004, elle n’en reste pas moins un impressionnant engin qui, long de 4,90 m et large de 1,90 m, accuse pas loin de 2 tonnes sur la bascule. Fort heureusement, sous le capot, il y a de quoi gommer cette « petite » surcharge pondérale : au choix, un 6 cylindres en ligne turbocompressé de 320 ch ou, mieux, un V8 4,4 l biturbo de 407 ch. Ces deux blocs bénéficient tous deux d’une injection directe d’essence et sont associés à une boîte automatique à 8 rapports qui, en mode manuel, permet de changer de rapport en 140 millisecondes via des petites palettes au volant.

 

Reste qu’une fois à bord de la nouvelle BMW Série 6 Cabriolet , cuir raffiné, bois noble et finition parfaite vous rappellent bien vite que vous n’êtes pas au volant d’une pure sportive mais aux commandes d’une puissante limousine à même d’accueillir confortablement quatre passagers sous une classique capote en toile (noire, beige ou anthracite argenté) qu’il est possible d’ouvrir ou de fermer en roulant jusqu’à 40 km/h.

 

 
 
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Chevrolet Camaro Convertible
Le retour d’une mythique « muscle car »

 

En Europe, sous le label Chevrolet, sont majoritairement commercialisées aujourd’hui des voitures d’origine coréenne comme la Spark, l’Aveo, la Cruze ou l’Orlando. Mais Chevrolet reste néanmoins un constructeur américain qui produit chez lui de gros 4x4 ainsi qu’une sportive qui reprend l’appellation et l’esprit de la mythique Camaro des années 70, une « muscle car » destinée à contrer l’insolente réussite d’une certaine Ford Mustang... « ressuscitée » elle-aussi il y a peu.

 

Alors qu’il n’est possible d’importer la nouvelle Ford Mustang qu’en faisant appel à des voies parallèles, Chevrolet Europe a pris la (sage ?) décision d’introduire sur le Vieux Continent cette pure américaine déclinée en Coupé et en Cabriolet.
Dévoilée à Genève, la Chevrolet Camaro Cabriolet renoue avec son glorieux passé par sa silhouette basse et longue et un rapport entre l’avant et l’arrière fidèle au concept original.
Pour sa commercialisation en Europe au mois de septembre, Chevrolet dotera sa Camaro Cabriolet d’un V8 6.2 l de 426 chevaux. Suivra un peu plus tard un V6 3.6 l de 312 chevaux.

 

 
 
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Fiat 500 Coupe Zagato
Une 500 virilisée

 

Sergio Marchionne, PDG de Fiat-Chrysler l’a promis, le concept Fiat 500 Coupé Zagato exposé au dernier Salon de Genève sera bientôt produit en série. Fruit d’une collaboration entre le Centro Stile du Groupe Fiat et la société de design automobile Zagato, la 500 Coupé Zagato reprend le gimmick stylistique qui, dès les années 50 a souvent caractérisé les créations du carrossier italien, à savoir le double bossage qui permet d’abaisser le centre de gravité du véhicule tout en conservant une garde au toit correcte.

 

La 500 « normale » étant plébiscitée par les femmes, la Fiat 500 Coupé Zagato a pour ambition de séduire une clientèle plus masculine grâce à son style sportif affirmé. Sous le capot du concept-car genevois prenait place la déclinaison 105 ch du déjà fameux bicylindre TwinAir qui se contentait jusqu’alors de développer 85 ch. Jamais monté à ce jour sur un modèle du groupe Fiat, le TwinAir 105 ch qui délivre un couple de 155 Nm à 2.500 tr/mn (145 Nm à 1.900 tr/mn pour le 85 ch) brillera sans doute autant par sa souplesse que par ses faibles rejets : 95 g/km de CO2 seulement !

 

 
 
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Hyundai Genesis Coupé
Rêve de « drifteur » !

 

Commercialisé dans un certain nombre de pays « lointains » depuis 2009, le Coupé Genesis a été présenté pour la première fois en Europe lors du Mondial de Paris 2010... où il fut chaleureusement accueilli. Il n’en fallait pas plus pour inciter Hyundai à le lancer sur le marché européen, même s’il se démarque radicalement d’une gamme de produits plutôt sages.

 

S’il a fort belle allure avec sa silhouette cunéiforme caractérisée de profil par une vitre de custode au décroché original, le Hyundai Genesis Coupé « c’est pas que d’la gueule » ! Sous son capot prend place en effet un V6 3,8 l de 303 ch qui, cerise sur le gâteau, entraîne un essieu arrière équipé d’un différentiel à glissement limité. Autant dire que sur le mouillé, mieux vaut doser ses pressions sur l’accélérateur, surtout en sortie de virage serré. Heureusement, dans ces conditions, un ESP déconnectable veille au grain !
Vendu à un prix canon (35.990 €) compte tenu de ses performances (240 km/h) et de son équipement, le Genesis Coupé est aussi proposé avec un 4 cylindre 2,0 l turbo de 214 ch vendu 3.000 € moins cher.

 

 
 
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Maserati GranCabrio Sport
Le mariage parfait de l’élégance et de la sportivité

 

Premier cabriolet 4 places de la marque au Trident, la Maserati GranCabrio lancée en 2009 connaît un succès commercial plus qu’enviable. Voilà qui a poussé Maserati a présenter cette version « Sport » qui ne se contente pas de reprendre les attributs de style de la GranTurismo S (phares habillés de noir, déflecteurs avant et jupes latérales redessinées...). La Maserati GranCabrio Sport a droit en effet à ce qui se fait de mieux chez son constructeur en termes de motorisation, le V8 4,7 l de 450 ch monté sous le capot de la GranTurismo MC Stradale. Accouplé sur cette dernière à une boîte robotisée à six rapports, ce bloc est ici associé à la boîte automatique six vitesses de la Quattroporte Sport GTS.
Pas de quoi freiner les ardeurs de la GranCabrio Sport qui, cheveux au vent, vous permettra d’atteindre 280 km/h ou de passer de 0 à 100 km/h en 5,2 secondes !

 

Pour la petite histoire, on notera que le modèle exposé à Genève inaugurait une nouvelle teinte de carrosserie, un Rosso Trionfale qui s’inspire des rouges nationaux utilisés sur les Maserati de course des années 50.

 

 
 
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Mazda MX-5
Elle ne cesse de battre des records

 

Lancée en 1989, la Mazda MX-5 est à ce jour le plus ancien modèle (le plus sexy aussi !) de la gamme Mazda. Réinterprétation moderne (et fiable !) des petits roadsters anglais des années 60 et 70, la MX-5 est entrée pour la première fois (en tant que « Cabriolet sportif biplace le plus vendu au monde ») en mai 2000 au Guiness World Records, lorsque sa production a atteint 531 890 exemplaires Record réactualisé avec le franchissement de la barre des 700.000 puis des 800.000 unités vendues. Et le 4 février 2011, la production totale de Mazda MX-5 s’est établie à 900.000 unités.


Pure propulsion, avec tout ce que cela sous-entend en terme de vivacité et de plaisir de conduite, la MX-5 est proposée avec deux motorisations essence, un 1,8 l de 128 ch associé à une boîte 5 et un 2,0 l de 160 ch avec boîte 6 et différentiel autobloquant. Si la déclinaison 1,8 l donne le choix entre capote souple et toit rétractable (Roadster Coupé), la MX-5 2,0 l n’est désormais plus disponible qu’avec le toit « en dur ».

 

 
 
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Mercedes SLK
Plus sportive, plus luxueuse... et toujours chère !

 

Lancé en 1996, la Mercedes SLK a été la première à remettre au goût du jour le toit escamotable, une solution pratique bien vite reprise par de nombreux constructeurs (Peugeot, Renault, BMW, Ferrari, Lexus, Opel, Volkswagen, Volvo...).
Au fil des ans, le roadster de Mercedes n’a cessé de gagner en sportivité. C’est encore le cas avec cette troisième génération qui voit son design revu en profondeur, notamment au niveau de sa face avant copiée sur la fabuleuse SLS à portes papillon.

 

Parmi les options qui visent à améliorer bien-être à bord et plaisir de rouler, il y en a deux qui sont inédites : un cuir qui réfléchit les rayons du soleil et un toit escamotable panoramique Magic Sky Control dont la transparence est modulable.
Le nouveau roadster Mercedes SLK peut abriter sous son long capot trois motorisations essence, un quatre cylindres de 184 ch avec boîte manuelle 6 rapports (sans malus !), un autre 4 cylindres de 204 ch et un V6 de 306 ch, tous deux accouplés à une boîte automatique à 7 rapports. Une version AMG (chic !) et une version Diesel (bof !) arriveront par la suite.

 

 
 
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Morgan 3 wheeler
Anglaise... forcément !

 

Pour ceux qui trouvent trop moderne la Morgan 4/4 dont la conception remonte à 1936, l’attachante fabrique anglaise n’a pas oubliée qu’elle fut la pionnière des voitures à trois roues et que c’est en 1910 qu’est né son premier 3 wheeler, un cycle-car dont la production allait cesser en 1952. Morgan relance aujourd’hui la mode de ces petites voitures à trois roues qui avaient (à l’époque) le mérite d’être moins taxées et moins chères que les voitures classiques.

 

Reste qu’il vous faudra aujourd’hui débourser plus de 30.000 € pour goûter aux joies, sûrement aussi intenses qu’inoubliables, de la conduite de la « nouvelle » trois roues de Morgan. Formidablement rétro, la Morgan 3 wheeler fait cependant appel à des solutions techniques modernes avec son châssis tubulaire, sa carrosserie alu et son bicylindre en V 1.800 cm3 Harley-Davidson accouplé à une boîte de vitesses de Mazda MX-5. Entraînée par une courroie, c’est l’unique roue arrière qui se charge de propulser cet engin inclassable qui, compte tenu de son poids plume (500 kg), devrait procurer des accélérations dantesques.

 

 
 
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Nissan 370Z Roadster
Le plein de sensations pour un prix raisonnable

 

En prenant le relais de la 350Z, la 370Z a conservé tous les ingrédients qui ont fait le succès de sa devancière : une ligne suggestive, un gros moteur, un tempérament de propulsion affirmé et un prix contenu.
Comparée à la 350Z, la Nissan 370Z Roadster a vu son empattement raccourcir de 10 cm et ses voies s’élargir de 1,5 cm à l’avant et de 5,5 cm à l’arrière. Voilà qui confère une plus grande agilité à cette vraie sportive qui, une fois son ESP débranché, rappellera bien vite aux « pilotes » présomptueux que la maîtrise d’une puissante propulsion réclame un minimum de métier.

 

Sous son capot, la Nissan 370Z Roadster accueille un V6 3,7 l qui développe 331 ch et un couple généreux de 366 Nm. Moins expressif dans ses vocalises que le V6 qui animait la défunte 350Z, le gros V6 (toujours atmosphérique) de la 370Z sait faire parler la poudre (0 à 100 km/h en 6,2 secondes), ce qu’il fait hélas payer par un (trop) solide appétit. Un petit défaut compensé par la présentation soignée d’un habitacle où l’ambiance sportive va de pair avec un équipement particulièrement généreux (capote électrique, système audio Bose, climatisation automatique, sièges électriques et chauffants...).

 

 
 
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Peugeot 308 CC
Un subtil lifting

 

Amorcée avec la nouvelle 508, la tendance visant à réduire la taille de la vorace calandre des Peugeot a touché l’ensemble de la gamme 308. Tout comme la berline et le break, la 308 CC a donc vu sa (toujours grande) calandre gagner un peu en discrétion. Le dessin des immenses phares qui « mangeaient » les ailes a également été revu tandis que de nouveaux feux à LEDs (diurnes et position) en forme de boomerang ont fait font leur apparition.

 

La réduction des émissions de CO2 a été l’un des objectifs majeurs du projet 308 2011, CC comprise. Parmi les mesures prises, citons un poids réduit de 25 kg en moyenne par voiture, l’optimisation du fonctionnement de l’alternateur, l’amélioration du pilotage de la direction assistée, des pneus 16’’ à ultra basse résistance au roulement et l’apparition d’une version bénéficiant de l’innovante technologie micro-hybride e-HDi et de son très efficace système Stop & Start. La puissance des motorisations essence s’échelonne de 120 à 200 ch et celle des Diesel HDi de 112 à 163 ch.

 

 
 
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Porsche 918 Spyder
La plus radicale des hybrides

 

918 exemplaires, pas un de plus ! Autant dire qu’il ne va pas falloir attendre trop longtemps avant de vous précipiter chez votre concessionnaire pour y signer un chèque de près de 700.000 € afin de réserver un exemplaire de cette supercar hybride plug-in qui ne vous sera livrée qu’à partir du 18 septembre (9/18 en anglais... kolossal humour !) 2013.
Pour vous aider à patienter 2 ans, il vous sera possible de commander une édition spéciale limitée de la 911 Turbo S baptisée « Edition 918 Spyder ». Strictement réservées aux acheteurs de Porsche 918 Spyder, ces 911 qui porteront, sur leur boîte à gants, un badge portant le même numéro de série que la 918 Spyder retenue, ne seront pas « cadeau » puisqu’elles exigeront un « petit » supplément de 170.000 € minimum à la facture globale.


Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos chevaux qui seront près de 700 pour propulser la 918 Spyder, une fois additionnés les 500 ch de son V8 et les 218 ch de ses deux moteurs électriques. De quoi atteindre 320 km/h en pointe mais aussi de parcourir jusqu’à 25 km en mode tout électrique, avec quelques courtes pointes à 150 km/h ! Même électrisée, une Porsche se doit de rester une Porsche.

 

 
 
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Renault Mégane Coupé-Cabriolet Floride
Une série spéciale un brin nostalgique

 

Vous souvenez-vous de Brigitte Bardot, alors au faîte de sa gloire et de sa beauté, innocemment assise sur le capot d’une élégante Renault Floride à la carrosserie blanche et à la sellerie (en skai !) rouge ? C’est une réinterprétation moderne de cette Floride, lancée en 1958 pour symboliser un art de vivre à la française bien malmené par de longues années de guerre, que Renault commercialise depuis le 1er mars sous la forme d’une série limitée (450 en France) de sa Mégane Coupé-Cabriolet.


La Renault Mégane Coupé-Cabriolet Floride est élaborée sur la finition Privilège à laquelle elle ajoute des jantes en aluminium diamantées ivoire, un frein de parking assisté, un système de surveillance de pression des pneus, une aide au parking avant et arrière, des rétroviseurs rabattables électriquement et un système de navigation Carminat TomTom Live.
Uniquement proposée en France avec un 1,9 l dCi de 130 ch, la Mégane Coupé-Cabriolet Floride n’aura droit qu’à une seule teinte exclusive, un splendide ivoire Floride associé à un flamboyant intérieur rouge rehaussé de touches d’ivoire.

 

 
 
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Volkswagen Golf Cabriolet
Fidèle à la capote

 

Avec 1,42 millions de cabriolets vendus depuis sa création (Coccinelle décapotable, Golf Cabriolet, New Beetle Cabriolet et EOS), Volkswagen peut légitimement revendiquer de figurer parmi les plus grands constructeurs de voitures découvrables au monde.
Dépourvu du disgracieux arceau de sécurité des modèles précédents, remplacé ici par système de protection anti-retournement à déclenchement automatique, la nouvelle Golf Cabriolet reprend dans ses grandes lignes le design de la berline 3 portes. Elle s’en distingue néanmoins par son arrière redessiné, son pare-brise plus plongeant et sa ligne de toit plus fuyante. Sa capote, qui isole parfaitement les passagers du bruit et du froid, s’ouvre électriquement, jusqu’à 30 km/h, en 9,5 s seulement.


La nouvelle Golf Cabriolet sera proposée en six motorisations au cours de l’année. En essence : 1,2 l TSI / 105 ch, 1,4 l TSI / 122 ch, 1,4 TSI / 160ch et 2,0 l TSI / 210 ch ; en Diesel : 1,6 TDI 105 ch (4,4 l/100 km et 117 g/km de CO2 en version BlueMotion) et 2,0 l TDI 140 ch.

 

 



Mise en ligne : mars 2011

Article suivant : 4X4, SUV et Crossovers : les dernières nouveautés 2011

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D. Allignol le 03/08/2011

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